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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/91

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des vociférations de la suppliciée. Quand elle jeta le martinet les bords étaient ensanglantés. On dut laver les lanières.

Elle la renvoya dans sa chambre pour ne pas être incommodée pendant qu’on achevait sa toilette par ces cris assourdissants qui lui écorchaient les oreilles.



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