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IV.
ORGIE DE FOUET
eux amies de la boïarine vinrent passer
un mois au château. Ce mois fut
pour nos pauvres fesses un mois de tourments,
un mois de transes, un mois d’inquiétudes.
Pour la moindre peccadille, on nous
fouettait jusqu’au vif. La gouvernante ne se
mêlait plus guère de nos corrections. Il y
avait assez des trois amies pour nous fouetter.
Elles devaient aimer çà avec passion, car elles ne manquaient jamais une occasion de mettre à nu un postérieur du plus petit