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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/100

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laissant que la chemise, qu’on épingle aux épaules, et le pantalon qu’on lui retire bientôt, la laissant toute nue de la nuque aux genoux, car la mignonne reste chaussée de jolis bas roses et de petits souliers pointus. L’écolière est hissée sur les reins de la plus vigoureuse des sous-maîtresses, qui lui tient les bras, tandis que l’autre lui tient les jambes écartées, laissant entrevoir, sous les fesses bien épanouies, pour recevoir la verge, la fente vermeille de la grotte d’amour. La machine se met en mouvement. Miss Pirouett s’avance, la verge en l’air, menaçant le blanc postérieur, adorablement potelé, d’un satin éblouissant ; flic, flac, la verge retombe sur le gros fessier, y laissant à chaque coup une ligne rose ; mais malgré le bruit que fait la verge qui résonne sur les chairs tendues, on devine que la fausse institutrice ne met pas dans la correction qu’elle inflige, la rigueur ni la cruauté des véritables fouetteuses d’Outre-Manche. Cependant la fustigée gigotte plaisamment, comme une écolière qui sait bien sa leçon ; chaque coup de verge fait bondir le