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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/99

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des sous-maîtresses relève les jupes de la patiente, retire la chemise du pantalon, la retrousse sur les reins, puis vient défaire le pantalon, et le rabat jusqu’aux talons, laissant le derrière de l’écolière bien à découvert pour recevoir le fouet.

La machine se met en mouvement ; la maîtresse lève la main, et la laisse retomber rudement, cinglant les fesses avec lenteur, comptant tout haut, un, deux, trois, les claques qu’elle accentue au fur et à mesure de la distribution. À la sixième gifle, la fustigée laisse échapper une plainte, à la septième elle crie, à la huitième, elle hurle, ne cessant de hurler lamentablement jusqu’à la fin de la seconde douzaine en criant : « Grâce ! », et en gigottant d’une façon désespérée. Quand la maîtresse cesse la fessée, ses doigts restent marqués en empreintes rouges sur toute la surface.

La plaque s’arrête après deux tours. Les sous-maîtresses se sont emparées de la seconde écolière, qu’elles dépouillent de tous ses vêtements, malgré son énergique résistance, ne lui