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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/144

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tard l’expérience du stimulant, se trouvait merveilleusement disposée à l’amour. Lola et Lison s’arment d’un godmiché et s’installent chacune sur une chaise, la verge en l’air ; je m’assieds également sur une chaise, placé entre elles, la queue au vent. La comtesse m’enjambe, et s’embroche ; Miss Pirouett s’encheville sur Lola ; la princesse s’enfile sur Lison ; on installe des tabourets, à droite et à gauche de nos chaises ; les gougnottes disponibles montent sur l’un des tabourets, deux à deux, se tournant le dos, passent une jambe entre nos deux bustes, reposent le pied sur le second tabouret, et se trouvent ainsi entre les deux poitrines des couples enchevillés. Conchita et Dolorès, adossées l’une à l’autre, les fesses contre les fesses, les bras en arrière pour s’enlacer, sont entre Mercédès et moi, chacune présentant sa fente aux lèvres qui sont vis-à-vis ; entre Miss Pirouett et Lola, s’intercalent Agnès et Blanche, toujours adossées l’une à l’autre, le cul sur le cul, les fesses intimement reliées et les toisons tournées vers les figures des deux