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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/145

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conjointes ; Cécile et Mina présentent leurs grottes à la princesse et à Lison dans la même position. Les trois écuyères partent ensemble, chevauchant sur la quille qui les encloue ; Mercédès se pavane sur la mienne, tout en exerçant son talent de Lesbienne sur la grotte de Conchita, et, de mon côté, je prie avec ferveur dans l’église de Dolorès, qui s’ouvre sous mes lèvres. À droite et à gauche de notre champ de bataille, chacune se tire brillamment d’affaire ; celles-ci menant à bien une double manœuvre, écuyères habiles et gougnottes ferventes ; celles-là se laissant mener à Cythère par leurs vis-à-vis, sans broncher sur leur piédestal. Dolorès, que je traite, manifeste déjà une douce émotion ; son bouton ému palpite sous ma langue, et cherche à la fuir ; je dois le prendre dans mes lèvres et le larder, ainsi enfermé dans un petit four bien chaud. Mon écuyère modère son allure, puis s’arrête sur ma quille, y reste immobile, et comme une pompe aspirante, son vagin, qui se contracte convulsivement, comprime ma verge, la suce