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Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/14

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et sus comment on en pourrait tirer parti. Personne, jusqu’à ce jour, je le puis dire, n’a porté plus loin les calculs à cet égard, et n’en a tiré des effets plus infaillibles. Pour ce, je m’attachais principalement à la chimie, toutefois sans abandonner mes études astrologiques. Une grande application, (aidée, il est vrai, par des expériences particulières) me firent trouver l’art de composer des poisons à un degré imminent ; et en composant les plus subtils, je puis diminuer leur force à un point imperceptible. Je fis d’abord mes essais sur des animaux, et ensuite sur ceux qui m’avaient offensé !

Victoria tressaillit, mais le maure feignit de n’en rien voir, et continua de parler.

» Par ces essais, je connus l’effet