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Page:Daudet - Jack, II.djvu/142

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rai. J’ai des baumes pour toutes les blessures, et celui qui les cherche est déjà guéri… »

Charlotte quitta son fils de bonne heure, et la petite maison, toutes ses fenêtres ouvertes à l’air tiède, aux bourdonnements du jardin légèrement inculte qui mêlait ses fleurs et ses fruits dans le renouveau de l’arrière-saison, la petite maison que Jack parcourait de pièce en pièce en se baissant un peu pour rechercher dans tous les coins les miettes de son enfance disparue, s’accorda pour la première fois et sans aucune ironie avec l’inscription de son frontispice :

Petite maison, grand repos.

fin de la seconde partie.