ner certaines affaires urgentes qui réclamaient sa présence : achats d’enclaves d’où dépendait la plus value de certains domaines, maints échanges ou maintes ventes.
Il descendit à Mavesée, n’ayant pas gardé de pied-à-terre en ses propriétés.
Jacques fut ravi du regain de vie, que son cousin apporta au château.
Gervel, de son côté, fut au baron de Pitez, fort utile guide à travers champs et sage conseiller en affaires. Il ne négligea pas du reste, sa marotte, et Xavier eut à subir d’incommensurables homélies. Car le brave homme qu’était Gervel, était devenu radoteur, avait à présent des débordements de paroles, par réaction, peut-être, contre l’abstinence coutumière que forcément il pratiquait. Ses idées, à mesure qu’il s’y entêtait davantage, ne s’étaient point illuminées ; au contraire. Son système n’était