plus qu’un fouillis inextricable dans lequel traînaient pêle-mêle toutes les défroques socialistes et altruistes, avec des déchets de préceptes évangéliques ; et les applications qu’il en rêvait étaient irréalisables, à moins qu’elles ne fussent mesquines ou même odieuses.
Xavier de Pitez menait lestement à leur fin ses affaires avec les notaires et les terriens des environs.
Les années avaient passé depuis que, ses parents morts, le jeune seigneur était parti pour Paris. Il s’acheminait, à l’heure qu’il était, vers la quarantaine.
Après bien des frivolités, bien des amours mondaines, dont la déception l’avait conduit tôt à un scepticisme au moins superficiel, il y avait beau temps déjà qu’il vivait en dilettante de la grande vie suffisamment boule-