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Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome II, 1807.djvu/330

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CORINNE OU L’ITALIE.

prit remarquables. On lui témoignait une affection moins expansive que celle à laquelle elle était accoutumée, mais qui se faisait connaître à chaque occasion par de nouveaux services. La sévérité de lady Edgermond, l’ennui d’une petite ville de province lui avaient fait une cruelle illusion sur tout ce qu’il y a de noble et de bon dans le pays auquel elle avait renoncé, et elle s’y rattachait dans une circonstance où, pour son bonheur du moins, il n’était peut-être plus à désirer qu’elle éprouvât ce sentiment.