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mes anciens maîtres, mille fois plus pénible que les plus dures paroles.
À chaque anniversaire du jour fatal j’ai soin de faire dire une messe pour le salut de l’âme du pauvre cher enfant, et chaque matin je viens ici, — quelque temps qu’il fasse, — me rappeler tout ce que j’y ai souffert, prier pour celui que je pleurerai toujours et demander à Dieu qu’il me réunisse bientôt à lui ! »