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Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t1.djvu/214

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LE TUEUR DE MOUCHES.

Tuer une mouche, c’est affliger Dieu. C’est détruire un de ses chers ouvrages.

Un homme bien malheureux qui avait tout perdu sur la terre, hors le souvenir et la résignation, rêvait des heures entières, occupé à regarder ces charmantes promeneuses des vitres, où elles glissent en tous sens comme sur un chemin droit. Un jour, il vit Paul que j’ai bien connu, en