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Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t2.djvu/160

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ADIEU D’UNE PETITE FILLE À L’ÉCOLE.

Mon cœur battait à peine et vous l’avez formé,
Vos mains ont dénoué le fil de ma pensée,
Madame ! et votre image est à jamais tracée
Sur les jours de l’enfant que vous avez aimé !


Si le bonheur m’attend, ce sera votre ouvrage ;
Vos soins l’auront semé sur mon doux avenir :