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Page:Desbordes-Valmore - Livre des mères, 1840, t2.djvu/48

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MINETTE.

Ah ! que j’ai vu une triste chose ! Il m’en coûte beaucoup de vous la raconter ; mais elle peut servir de leçon à quelques enfants, si par malheur, il s’en rencontrait encore de pareils à Minette. J’en prends donc le courage.

Minette passait chaque année une partie des vacances chez une amie de sa mère, car Minette était en pension, parce