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Page:Doutre - Les fiancés de 1812, 1844.djvu/100

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Laissons à ma lyre plaintive
Résonner ses derniers adieux.
Que ce son vogue sur la rive,
Pour faire redire mes vœux.
Reçois, aujourd’hui pour la vie,
L’éternel serment de ma foi…
Voici ce que mon cœur envie :
« Mourir ou vivre sous ta loi. »


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