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Page:Doutre - Les fiancés de 1812, 1844.djvu/323

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perce !… l’insolent ! Il portera ! la honte de son effronterie. Vas, vas monstre, vas faire laver ton sang ; par une épouse digne de toi… Sors, ne profane pas cette enceinte que j’ai consacrée à pleurer mon amant !… Gonzalve ! Gonzalve ! Où es-tu ?… Ah ! toujours à te battre contre les hommes… et moi je combats les maux de l’absence… Je me meurs loin de toi … Apporte ici ton épée victorieuse… donne moi la que je terrasse une existence de malheur … donne, donne… les jours sont trop longs loin de toi… Mais où es-tu donc ? Ne devais-tu pas assister à mon agonie… Tiens, te voilà… Ah ! viens dans mes bras ! Ah ! recule, recule !… Devais-je te voir si sanglant !… d’où viens-tu ? Qu’as-tu fait ? Où sont ces reliques que je t’ai mises