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Page:Driant - L’invasion noire 2-grand pèlerinage à la Mecque,1913.djvu/258

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— Nous essaierons de nous passer de lui. Aujourd’hui le plus fort est fait, dit le Sultan.

— Je ne te demande pas si tu t’en passeras avec plaisir, dit Omar au capitaine qui ne disait mot ; ce gaillard-là aurait fini par te jouer un mauvais tour. Maintenant laisse-moi t’annoncer une nouvelle qui te réjouira.

— Laquelle ?

— J’ai profité de ton absence pour obtenir de mon père