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Page:Duclos - Acajou et Zirphile, 1744.djvu/16

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& vous croyez juger parce que vous prononcez.

Je vous respecte beaucoup, je vous estime très-peu ; vous n’êtes pas digne qu’on vous aime ; voilà mes sentimens à votre égard : si vous en exigez d’autres, je suis votre très-humble & très-obéissant serviteur.**