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Page:Dugas - Psyché au cinéma, 1916.djvu/112

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biens qui, en toi, se changeaient en angoisses.

Mais avant qu’il ne subsiste de ta vertu qu’un souvenir indécis, je te presse en ma poitrine dilatée, chère pauvresse éblouie, si morte d’avoir vécue, et pourtant encore frémissante d’être rivée à la loi commune du sacrifice et de la mort.

Adieu, ma tragique Psyché !

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