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Page:Dumas - Mes mémoires, tome 7.djvu/313

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MÉMOIRES D’ALEX. DUMAS

Si cette France qu’elle appelle,
Trop loin, ne peut vaincre avec elle,
Que Dieu, du moins, soit son appui.

Trop haut, si Dieu ne peut l’entendre,
Eh bien, mourons pour la défendre,
Et nous irons nous plaindre à lui !

Nous ne croyons pas qu’aujourd’hui l’abbé Châtel soit mort ; mais, si nous jugeons de sa santé par les toiles d’araignée qui ornent les gonds et la serrure de l’église française, nous ne craindrons pas d’avancer qu’il est bien malade.

FIN DU TOME SEPTIÈME.