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Page:Duplessis - Aventures mexicaines, 1860.djvu/108

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sur le lit où l’avait déposée le cargador. Tiens, ajouta-t-il, le cadenas en est brisé, et cependant elle semble pleine !

L’hôtelier retourna ma valise et la secoua. À notre grand étonnement, une pluie de piastres s’en échappa et inonda la chambre. Je les ramassai une à une, puis je les comptai. C’était juste la somme que j’avais prêtée au capitaine Bravaduria la veille de mon départ de Mexico, et qu’il m’avait promis de me rendre avant quatre jours.