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I
La passion qui domine chez le Mexicain est sans contredit celle du jeu. Qu’un malheureux lepero[1] ait laissé sa paresse l’emporter sur son appétit, et qu’après quarante-huit heures d’une rude abstinence le hasard de la Bohême jette à ses pieds quelques réaux, on peut être assuré que si son jeu de carte est usé et hors de service, il ira en acheter un autre de Préférence à des aliments.
Je suis assez porté à croire que le Mexicain peut
- ↑ Le leperoest le lazzarone mexicain.