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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/108

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Après avoir dit ces paroles, l’Irlandais appuya sa tête contre la muraille, ferma les yeux et ne s’occupa plus de son visiteur. Quant à Rose, malgré le congé si formel qu’il venait de recevoir, il ne bougea pas ; il semblait désireux et embarrassé tout à la fois de prolonger la conversation.

— Dormez-vous déjà, cher Fitzgerald ? demanda-t-il après un moment de silence.

Le condamné ouvrit les yeux et d’un ton bourru :