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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/109

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— Quoi vous êtes encore là, Rose ? s’écria-t-il. Voici que vous me réveillez au commencement d’un rêve très amusant !… Que me voulez-vous ? Ne vous avais-je pas prié de me laisser en paix ?

— Je m’en vais cher ami, je m’en vais.

— C’est fort heureux, en vérité !

— Seulement, avant de prendre un éternel congé de vous, je souhaiterais vivement de vous embrasser : on prétend que le baiser d’un futur pendu porte bonheur