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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, I, 1857.djvu/251

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sonneur nocturne, la jeune fille ramena les plis de sa mante sur ses épaules, et se remit en marche d’un pas plus rapide.

En ce moment, un homme, que l’obscurité de la nuit laissait apercevoir confusément, sortit soudain de dessous un auvent d’où, spectateur invisible et muet, il avait assisté au dialogue échangé entre le bedeau et la jeune femme.

Il se mit à suivre cette dernière.

Ce que voyant, l’honorable clerk de l’é-