Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/204

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Lorsque l’ambassadeur pénétra dans la chambre du moribond, il la trouva remplie d’une foule compacte et silencieuse de courtisans. Un simple coup d’œil lui suffit pour juger que l’état du roi était désespéré.

— Monseigneur, dit-il en s’approchant du duc d’York, retiré dans l’embrasure d’une fenêtre, Votre Altesse me permet-elle de lui adresser une question ?

— Parlez, monsieur l’ambassadeur.

— Pensez-vous que la présence d’un