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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/205

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prêtre catholique n’adoucirait pas les derniers moments du roi votre frère ?

Aux paroles prononcées par M. de Barillon à voix basse, le duc d’York tressaillit, passa à plusieurs reprises sa main sur ses yeux comme fait un homme réveillé en sursaut, puis, la rougeur au front et avec une émotion extraordinaire :

— Merci, dit-il, monsieur l’ambassadeur. Oui, je vous remercie. Voyez ce que c’est que la fragilité humaine, voyez comme l’homme, aveuglé par la passion, néglige et oublie ses devoirs les plus sa-