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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/285

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instants, se tinrent étroitement serrés poitrine contre poitrine.

— Ah ! dit l’aîné des deux frères, quel bien tu viens de me faire, James ! Combien je te remercie de tes bonnes paroles ! Tu ne peux t’imaginer jusqu’à quel point elles m’ont soulagé.

— Ce n’est pas tout, reprit James ; je veux te donner une preuve qu’elles sont vraies. Cette fois-ci je prends ta place, c’est moi qui tuerai lord Lisle. Tu le veux bien, n’est-ce pas ?

— Hélas ! pauvre enfant, tu ne sais pas ce que tu demandes là !… non, non !