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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, II, 1857.djvu/32

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À ce contact, Suzanne poussa un cri d’effroi ; mais surmontant, aussitôt, par un suprême effort de sa volonté le dégoût et la crainte qui paralysaient ses mouvements elle tomba aux genoux de Jefferies, et tendant vers lui ses mains suppliantes :

— Grâce, grâce pour mon frère innocent que l’on doit tuer demain ! s’écria-t-elle d’une voix entrecoupée de sanglots, — grâce, mylord, grâce pour le malheureux Fitzgerald !