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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/279

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taire devant d’autres que vous certains avertissements que votre ami mourant m’a prié de vous transmettre. J’ai, en outre, de mon propre mouvement et dans votre seul intérêt, des communications véritablement importantes à vous faire. Je vous demanderai seulement, avant que je ne commence, votre parole d’honnête homme que la conversation que nous allons avoir restera à tout jamais entre nous, que vous n’en révélerez jamais un seul mot à qui que ce soit, qu’enfin, si vous jugez utiles les avis que je vais vous donner, vous les mettiez à profit pour vous seul… Votre parole, sir Charles, et je commence..

— Je ne puis la donner, colonel.