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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/56

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lui dise en la lui remettant : « Mon vieux père, au moment où il allait expirer sous le poignard de Jacques II, me l’avait donnée, croyant que j’étais digne de la posséder : il s’est trompé, je vous la rends ! » Adieu, mon généreux ami ; puisse mon fils être sauvé par Dieu, par vous et par Lucy !