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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/248

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Si j’ai fait une faute, c’est ma joie qui en est cause. Elle m’a donné des ailes et n’a fait m’envoler vers vous… Regardez-moi : me reconnaissez-vous, monsieur ?

— Oui, Suzanne, je vous reconnais, dit Henri, placé sous un charme qu’il ne pouvait s’expliquer en un jour si douloureux pour lui. Vous êtes bien la personne que mes souvenirs m’ont rappelée quand j’ai eu fini de lire votre lettre, et quand je me rendais ici…

— Oh ! que c’est charmant à vous d’être venu ! Et combien je suis contente d’être