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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/39

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flétri disait un passé orageux, descendit de la chaise, saisit le marteau, sans attendre qu’un des porteurs se chargeât de ce soin, et frappa avec violence plusieurs coups précipités. Presque aussitôt la porte s’ouvrit, et le nouveau venu entra.

Tout cela s’était passé si vite, que Fitzgerald, surpris d’abord par cette apparition, puis ému jusqu’au fond du cœur, n’avait eu ni le temps ni la force de prendre un parti.

— Malédiction ! murmura l’Irlandais, dont le regard s’anima d’une effrayante