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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, V, 1857.djvu/194

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cution ses projets de vengeance !… pensa-t-elle !… C’est trop tôt ! Il n’a pas assez de patience… Il faut l’empêcher d’achever…

La pensionnaire de Bridewell connaissait aussi les diverses pièces de la maison, plus particulièrement habitées par Jefferies ; elle alla sans hésiter à une autre porte ouvrant sur le même palier et qui donnait entrée dans la chambre à coucher du grand juge. Elle fit jouer le pêne et pénétra sans peur dans l’antre du tigre. Il ne s’y trouvait pas. Elle continua alors sa marche, ouvrit la porte qui faisait communiquer la chambre avec le salon, et entra dans cette pièce. Il n’y avait personne non plus.