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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, V, 1857.djvu/195

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— C’est là ! se dit-elle en se dirigeant vers la porte du cabinet de travail de Jefferies. Avant d’ouvrir, elle écouta.

Elle ne s’était pas trompée : c’était là qu’avait lieu une lutte terrible entre son frère et le grand juge. Cette lutte, du reste, tirait à sa fin, comme Suzanne put le comprendre bientôt par les paroles de Fitzgerald, qui parvenaient jusqu’à elle avec un grondement sourd.

— Ah ! je te tiens enfin sous mon genou misérable ! Ah ! il t’aura plu de fouler aux pieds toutes les conditions de notre pacte…