Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/96

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— Dame ! vous ne me l’aviez pas demandé.

— Au fait, c’est juste ! Quel est le caractère de ton maître ?

— Mon maître est un bon chrétien !

Le cavalier fronça les sourcils et reprit d’une voix dure et brève :

— Explique-toi plus clairement. Qu’entends-tu par ces paroles ?

— J’appelle les choses par leur nom.