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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/97

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Je prétends que M. le chevalier est un bon chrétien, parce qu’il est bon et généreux avec les pauvres, doux comme un agneau avec les enfants, et terrible comme un loup enragé avec les méchants.

Cette réponse parut causer un sensible plaisir à l’inconnu, qui se mit à sourire.

— Ainsi, le chevalier, ; continua-t-il, est un gars solide, qui ne recule pas à l’occasion ?

— Si vous êtes venu à Penmark avec