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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/164

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parler de mon père ? Mais il n’y a pas une personne à la cour qui ne sache la haute position de fortune et la grande noblesse du comte de Blinval.

— Aussi ne suis-je pas de la cour, mademoiselle ; j’arrive du fond de la Bretagne.

Vous m’étonnez au delà de toute expression ! Vous paraissez être cependant un cavalier accompli !

De Morvan s’inclina en rougissant, et la fille de l’illustre comte de Blinval, après