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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/169

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m’apercevant et sans me donner le temps de l’interroger, c’est le ciel qui vous envoie !…

Le vicomte me prit alors, tant son égarement était grand, par le bras et m’entraîna avec lui.

Tout le temps de la route il ne cessait de répéter :

Ah ! la malheureuse ! l’infortunée ! arriverons-nous à temps encore pour la sauver !

J’avais beau l’interroger, il ne me ré-