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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/237

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voyageurs leur écot, j’enferme ma vaisselle à clé, et je me retire dans mon grenier, les laissant libres de se tuer, de se voler et de quereller à leur aise. L’auberge de l’Enchanteur-Merlin. est avantageusement connue pour la liberté sans bornes dont y jouissent ceux qui veulent bien l’honorer de leur confiance.

À ces raisons il n’y avait rien à répondre.

De Morvan, afin de ne pas perdre en vaines discussions un temps précieux, proposa alors à l’aubergiste de lui ven-