Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/238

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dre le carrosse et les deux chevaux de labour laissés par les voleurs.

À cette proposition l’hôte éclata de nouveau de rire.

— Que diable voulez-vous que je fasse d’un carrosse ? répondit-il ; je ne suis pas assez riche pour entretenir une livrée ! Et puis, en supposant, par impossible, que j’eusse l’idée de monter sur un grand pied ma maison, vous figurez-vous bonnement que je serais assez niais pour payer en beaux écus comptant un carrosse probablement volé, et