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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/252

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— Vous avez l’air tout triste, mon maître.

— Et je le suis, en effet. N’est-il pas déplorable, de voir un homme se faire tuer misérablement par amour de l’or ?…

— Dame ! c’est une belle chose que l’or ! s’écria Alain avec enthousiasme, mon ambition a moi a toujours été de posséder un louis.

Le chevalier et le Bas-Breton abandonnèrent le cadavre du déserteur et se