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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/253

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remirent en route, mais à peine avaient-ils fait une centaine de pas qu’Alain s’arrêta court :

— Soyez assez bon pour m’attendre un moment, monsieur le chevalier, dit-il ; j’ai oublié une chose fort importante.

— Que peux-tu donc avoir oublié, Alain ?

— De rendre les derniers devoirs au mort, répondit le serviteur, qui, sans attendre l’assentiment de son maître, s’é-