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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/261

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continuer ma route ! Je pense que vous ne mettez pas en doute ma sincérité. Au reste, mon piteux équipage, pour me servir de vos expressions, vaut à lui seul mieux qu’un long discours ! Tout ce que je puis pour vous, c’est de vous promettre, si la fortune me favorise, de vous tenir compte plus tard du préjudice que vous avez souffert.

— Cela me suffit, mon gentilhomme, car enfin, légalement parlant, vous ne me devez rien. Et puis, tenez, je ne sais comment cela se fait, mais j’ai confiance, moi, dans votre avenir. La première fois