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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/310

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Le jeune homme, à la pensée qu’il allait bientôt revoir Nativa, avait peine à retenir ses transports : son bonheur l’étouffait ; un moment même il fut tenté de faire part à Alain de son rendez-vous…

Tout à coup, cependant, son front se rembrunit, et il pâlit : en relisant le billet de Nativa, il s’était aperçu qu’elle ne lui donnait aucunement l’adresse du traiteur Renard !

— Bah ! se dit-il après un moment de réflexion, il faut que cet homme soit