Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/311

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

connu de tout Paris, sans cela Nativa n’aurait pas commis une pareille omission.

La nuit était venue, l’étape de la journée avait été longue, de Morvan se coucha.

Quelque grande que fût sa fatigue il ne put ni fermer les yeux ni goûter un moment de repos : l’adresse du traiteur Renard, si malheureusement oubliée dans la lettre de Nativa, le tracassait d’une étrange façon.

Il faisait depuis longtemps grand