Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/312

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

jour lorsque de Morvan parvint enfin à s’endormir.

À dix heures du matin, il se réveilla, et s’habillant à la hâte, il s’empressait de descendre pour aller aux informations, lorsqu’en mettant le pied sur l’escalier, il rencontra l’un des marchands de Nantes avec lequel il avait fait route.

— Mon cher monsieur, lui dit-il, sans même songer à lui souhaiter le bonjour, vous qui êtes déjà venu plusieurs fois à Paris, ne pourriez-vous m’indiquer l’endroit où se trouve un traiteur du nom de Renard ?