Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/325

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ligent, et se voir, faute d’une poignée d’écus, contraint de renoncer à un bonheur sans nom, à un bonheur pour lequel on jouerait si joyeusement sa tête, n’y a-t-il pas dans cette pensée de quoi troubler l’esprit le plus sain, et le plus ferme, de quoi faire douter la foi la plus fervente !…

De Morvan, en s’exprimant ainsi ne savait même pas qu’il s’adressait à Alain ; son cœur trop plein laissait échapper un cri de douleur, voilà tout.

Quant au Bas-Breton, il ne comprit