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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/78

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m’avançât une année de la pension qu’il est chargé de me servir et qu’il me paie tous les mois, c’est à dire six cents livres ?

— J’ignore le premier mot de cette affaire. Veuillez repasser dans une quinzaine, Cointo sera alors de retour.

— Je dois entreprendre un long voyage, et il me serait impossible d’attendre jusqu’à cette époque, mademoiselle.

— Êtes-vous donc tellement à court d’argent ou privé d’amis que vous ne